jeudi 21 août 2014

LES ASSASSINS DE L'OMBRE – FRANK FRAZETTA & JAMES SILKE


LECTURE DANS LE CADRE DU DÉFI

IMAG'IN CAFÉ


Bien avant l'avènement de l'Atlantide, dans un monde de violence et de sorcellerie, Gath de Baal était possédé par le heaume maudit faisant de lui le Death Dealer. Au bout de l'immense vallée qui, dans un lointain avenir, sera la mer Méditerranée, les couteaux des assassins ont soif de sang et les réfugiés affluent au château de l'arbre blanc - où, selon la prophétie, Veshta la blanche, la déesse de lumière, renaîtra. 
Mais Tiyy, sorcière, reine et porteuse du manteau de Veshta la noire, fait avancer ses armées vers la citadelle, car elle entend bien s'emparer des joyaux de lumière pour servir ses sinistres desseins. Entre-temps, les lames des meurtriers cherchent à tuer le seul homme qui peut s'opposer à elle. Celui qu'elle doit empêcher à tout- prix d'atteindre l'arbre blanc. Mais Gath de Baal n'est pas un homme ordinaire. 
Il est le porteur du heaume maudit : le Death Dealer.


L'histoire se poursuit exactement là où l'on l'avait laissé au tome précédent, Gath de Baal n'en a pas finit avec le seigneur des ténèbres, il va dans ce tome de nouveau être confronté à Tiyy la Reine Nymphe de Priam que l'on avait rencontré au premier tome.

Un tome qui s'avère plus classique dans sa trame de fond puisque que notre héros et ses compagnons vont subir dans la citadelle où ils se trouvent les assauts des armées de Tiyy. Mais ce tome ne s'avère pas de facture plus classique de par l'intrigue de fond, qui est comme dans les opus précédents des plus simples, mais aussi par le fait d'une nature qui se rapproche de la hight-fantasy par un côté moins sombre mais plus épique.

Un quatrième tome un peu moins passionnant que les précédents même si les co-auteurs nous font découvrir, aux côtés de Gath et de ses nouveaux compagnons, rencontrés au tome précédent, une nouvelle partie de l'univers du héros jusqu’ici non encore explorée. Les auteurs densifient donc avec cet ultime tome l'univers du héros de la même manière qu'ils l’avaient fait précédemment lors des précédents volumes.

Avec Les Assassins de L'ombre, les prosateurs nous offrent un récit plus épique que dans les tomes précédents, moins sombre, mais qui ne fait toutefois pas dans le light car les combats sont toujours aussi nombreux. Mais si l'action est toujours le maître mot des aventures de Gath, le style quand à lui se veut moins heurté, se rapprochant, avec l'assaut mené contre la citadelle dont notre héros à la charge d'organiser la défense, plus du médiéval-fantastique.

Un dernier tome au style non taillé à la hache, où les compagnons du héros seront plus présents mais qui de par la manière de transcrire le récit se veut plus proche de la fantasy actuelle.



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